Intolérance au gluten par un blé falsifié

INTOLERANCE AU GLUTEN

Texte provenant des sites : www.intolerancegluten.com , www.afdiag.fr www.homeophyto.com, www.passeportsante.net , wikipedia , Mise en forme et expliqué par Y.Quenneville Dr es-sciences

 

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Des pesticides jusque dans les pâtes et les biscuits ?

Mis à jour le20/03/2013 | 08:39, publié le20/03/2013 | 08:10
Selon une étude de l'ONG Générations futures datant de mars 2013, des résidus de pesticides se retrouvent dans les produits à base de blé.

Selon une étude de l'ONG Générations futures datant de mars 2013, des résidus de pesticides se retrouvent dans les produits à base de blé.

(LAURENCE MOUTON / AFP)
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Qu'est-ce que le gluten ?

Le gluten est un mélange de protéines combiné avec de l'amidon dans l'endosperme de la plupart des céréales. Il constitue environ 80 % des protéines contenues dans le blé et d’autres céréales. Lorsque nous mangeons du blé, du riz, nous mangeons l’endosperme du grain sous forme d’amidon. La digestion de l’amidon ou glucides complexes commence par la bouche lors de la mastication. Une diastase salivaire commence à décomposer cet amidon qui va être transformé par les enzymes digestives du petit intestin, du pancréas en glucides simples puis en glucose. Dans cet endosperme se trouve un liant protidique qui est le gluten.

Dans le gluten se trouve un polypeptide soluble dans l’éthanol : la GLIADINE, dans le cas du blé qui chez un sujet normal est réduite en fragments lors de la digestion et évacuée dans les selles. Le gluten est responsable de l'élasticité de la pâte malaxée ainsi que de la masticabilité des produits à base de céréales cuits au four. Il est important de savoir que le gluten se réfère aux protéines uniquement issues des céréales par conséquent, toutes les céréales contiennent du gluten. Le gluten se divise en deux groupes : les prolamines et les gluténines.

Les protéines de la famille des prolamines sont à la source de la maladie cœliaque et de l’intolérance très pernicieuse.( l’ alpha gliadine pour le blé ) la sécaline pour le seigle, l’hordéine pour l’orge, l’avénine pour l’avoine Le blé (alpha gliadine), le seigle (sécaline) et l’orge (hordénine) sont les plus toxiques, suivis du maïs (zénine).voir tableau Pendant des millions d’années, les hommes ont consommé une nourriture naturelle, analogue à celle des animaux sauvages.

Les enzymes et les mucines digestives (produisant le mucus) étaient adaptées aux diverses substances ingérées.

L’alimentation moderne est riche en macromolécules nouvelles, pour lesquelles enzymes et mucines ne sont souvent pas adaptées. Même pris en petite quantité ou exceptionnellement, un aliment contenant du gluten provoque des lésions de l’intestin.

Actuellement, les industries agroalimentaires modifient de façon exagérée les céréales, qui sont devenues beaucoup plus inassimilables et, par conséquent, encore plus toxiques qu’elles ne l’étaient déjà auparavant.

Rôle du gluten dans notre alimentation

Le gluten est une protéine présente dans les céréales. Le gluten influence les propriétés de cuisson de la farine. Le gluten absorbe l’eau qui est ajoutée à la farine et gonfle de façon à générer une pâte à pétrir. Pendant la cuisson, le gluten libère une partie de l’eau retenue et se lie à l’amidon contenu dans la farine, de façon à assurer la cohésion du pain. On peut considérer le gluten comme la colle de ces céréales. Il est responsable de la capacité agglutinante et liante des céréales et leur utilisation pour la fabrication des pâtes et de pains. Malheureusement le gluten est utilisé fréquemment en industrie alimentaire et peut se cacher dans une multitude de produits, sous des dénominations différentes.

 

 

 

CEREALES ET LEURS POURCENTAGES DE PROLAMINE

Plus haut est le pourcentage, plus haut est le risque d’une réaction

BLE  (froment)                                 69 % d’alpha gliadine

EPEAUTRE                                      69 % d’alpha gliadine

KAMUT                                            69 % d’alpha gliadine

SEIGLE                                            30 à 50 % de sécaline

ORGE                                              46 à 52 % de hordénine

MAIS                                                55 % de zénine

SORGHO                                         52 % de cafirine

MILLET                                           40 % de panicine

AVOINE                                           20 à 30 % d’avenine

TEFF  *                                             12 % FONIO *                                           inférieur à 10 % RIZ  et RIZ sauvage                      5 % d’orzénine * deux céréales de l’ Afrique, au Burkina Faso…sans gluten. certains magasins bio en vendent KAMUT  : ancêtre du blé .Provenance Turquie, Egypte, Irak et Golf Persique. N’est pas souvent, une céréale hybride. Voir plus bas

TRITICALE : est un hybride de blé et de seigle possède de la gliadine. Principalement réservée à l’alimentation animale (ovins, porcs, poulets.... .) La quantité de gluten est intermédiaire entre le Blé et le Seigle Problèmes : comme d’autres céréales le gluten va se retrouver dans la viande de ces animaux, d’où les risques de consommer ces viandes pour les intolérants au gluten. Le second problème qui se greffe sur ces céréales comportant du gluten (gliadine et autre) c’est l’ HYBRIDATION des céréales, et aussi d’autres plantes, vignes, arbres fruitiers, fleurs … Le Dr Seignalet ainsi que le Professeur Joyeux , donnent un aperçu dans leur livre de cette hybridation des céréales . L’ALIMENTATION ou La Troisième Médecine. Edition : Ecologie Humaine de François-Xavier de Guibert ; livre de plus de 650 pages. Ces auteurs mettent en évidence les risques pour la santé de consommer ces céréales hybrides. En particulier le blé n’est plus comme il y a 50 ans , le blé de nos parents, grands parents, était un blé dit « ANCESTRAL »

Le génie alimentaire biologique en a fait un blé hybride, en mariant3 à 4 sortes de blé dont une espèce riche en gluten afin d’obtenir une meilleure plasticité, un meilleur aspect, un meilleur contrôle de la température de cuisson permettant une uniformité de la production, une même hauteur de levée de la pâte . Bravo pour la réussite technique, commerciale des produits à base de blé . MAIS : le génie qui a mis au point ce nouveau blé a créé une nouvelle molécule de blé, avec une ADN particulière ou autre, que notre corps ayant été habitué pendant 50 000 ans, environ, à consommer toujours le même blé ne reconnait plus, voire même à la considérer comme un corps étranger !

Les rats ne mangent plus le blé avec lequel nous faisons notre pain quotidien ! Les abeilles s’ en éloignent, et bien d’autres animaux, mulot, hamster, musaraigne…. oiseaux. Dans les silos à grain, les souris et charançons se font rares.

Le céréalier ne peux plus faire comme avant, conserver une fraction de la récolte pour la prochaine. Il doit acheter de nouvelles semences auprès des firmes de l’agro-alimentaire.

Vous savez bien que le mulet, un hybride, un croisement entre cheval et ânesse, par exemple ne peut donner de petits mulets. Il faut recommencer le croisement originel. L’épeautre, le seigle, l’orge, l’avoine, le maïs, le kamut, sont maintenant des céréales hybrides, même si elle sont cultivées « BIO » . Nous assistons de plus en plus à la création de cultures « ANCESTRALES » et souvent bio du blé, et autres céréales. En particulier le « Petit Epeautre de Haute Provence » par la restauration des anciens moulins est une céréale non hybride, originelle .Son développement est aussi encouragé par des firmes de magasins Bio (ex Satoriz). Les céréales qui lèvent très peu, ont un pourcentage de prolamine très bas. C ‘est le cas des céréales suivantes : Le maïs, le riz complet et le millet sont des céréales avec peu de gluten. Le quinoa, l’amarante et le sarrasin sont des semences et non des céréales, mais n’ont pas de gluten ( gliadine) De même la farine de châtaigne : exemple des crêpes avec cette farine+du sarrasin, plus du jus de soja (pour ne pas dire lait) et des œufs….un délice. Idem avec de la pâte à tarte (quinoa et ou riz, châtaigne, …essayez, le gluten est vraiment déplaisant pour votre intestin grêle . Le quinoa est de plus en plus utilisé dans les préparations « sans gluten » et peut être une solution pour remplacer le pain (voir les livres de Marion Cupillard et autres « sans gluten » ) Lorsque les protéines des céréales et du lait ne sont pas complètement dégradées, celles-ci franchissent la paroi intestinale et se retrouvent dans le système sanguin. Ces peptides alors transformés en « peptides opioïdes » vont se comporter dans l'organisme comme certains dérivés morphiniques et se fixer sur les récepteurs biochimiques spécifiques à ces substances. En occupant et en saturant les récepteurs, les peptides provenant du gluten et de la caséine mal métabolisés, vont alors entraîner des dérèglements du comportement et favoriser le développement de maladies dégénératives et du système nerveux central. Donc, s’en tenir strictement aux farines autorisées si l’on veut obtenir des résultats rapides et spectaculaires. Important ! Une molécule de gluten contient 16 molécules opioïdes. Intolérance au gluten Certains individus ont la possibilité d'ingérer du gluten sans aucune conséquence pathologique (ils sont rares, de plus en plus rares). D'autres manifesteront certaines pathologies mais ne feront aucun lien avec les intolérances dérivant du lait et du gluten. Certains sujets susceptibles à ces deux substances développeront des pathologies, et leurs médecins plus informés feront le lien entre leurs intolérances et allergies liés à leurs pathologies, comme par exemple le gluten peut provoquer des lésions de la muqueuse du jéjunum( intestin grêle) Le gluten est reconnu depuis longtemps comme un allergène/antigène majeur. Une réaction d’intolérance sert de base au mécanisme de cette maladie. Le gluten déclenche en tant qu’antigène une réaction immunitaire qui, suite à un apport alimentaire quotidien, aboutit à une réaction inflammatoire chronique avec finalement une atteinte des tissus. Les lésions tissulaires progressent au cours du temps jusqu’à la destruction complète des villosités intestinales.

Si l’on mange mal on va sélectionner certains types de bactéries, c’est-à-dire que suivant le milieu nutritif que l’on va donner à nos bactéries, on va plutôt favoriser les unes par rapport aux autres. On a une mauvaise assimilation : plus on mange moderne, plus on est carencé et on a des micro-villosités défectueuses, et donc on peut de moins en moins absorber et digérer correctement des produits qui sont plus ou moins bien dégradés de ce fait. On n’est plus en phase avec notre environnement. Cela aboutit à une détérioration de la muqueuse intestinale. On crée alors rapidement une hyper perméabilité intestinale. L’alimentation est un facteur environnemental qui excite le système immunitaire, ce qui fait que la réaction immunitaire s’auto-entretient. Si vous arrêtez d’exciter le système  immunitaire, les choses se calment et petit à petit, il y a une régulation.

On sait que l’alimentation peut modifier jusqu’à 60% l’expression des gènes. On ne va pas créer de nouveaux gènes, mais on peut accentuer très fortement la production de molécules bénéfiques ou au contraire maléfiques. Les aliments que nous mangeons vont directement, sous forme découpée, au niveau du génome. Ce sont des promoteurs du génome. Dans énormément de maladies graves et compliquées, pour lesquelles il n’y a pas de solution médicamenteuse, si l’on ferme la perméabilité intestinale, immanquablement on va forcément améliorer les choses. Le mercure augmente la perméabilité intestinale. Il n’est pas seulement toxique pour le cerveau mais aussi pour touts les organes et les tissus. Symptômes et signes d’intolérance au gluten Anémies (le niveau de fer redevient très vite normal lors de la suppression du gluten) Effets sur la mémoire et l’apprentissage Problèmes d’écriture, problèmes scolaires Dyslexie Manque de confiance en soi Diminution à la socialisation, dépression Troubles du sommeil Modifications de la vie sexuelle Constipation Diarrhée Gaz intestinaux Maladie de Crohn Régulations de la température corporelle Ralentissement des mouvements péristaltiques Les effets du gluten sur le cerveau La protéine pénètre le cerveau et y exerce ses effets pathogènes. Les peptides opioïdes franchissent d’autant plus aisément la barrière hémato-méningée qu’ils en augmentent la perméabilité et sont retrouvés dans le liquide céphalo-rachidien. Ils perturbent l’apprentissage, l’affectivité, la socialisation. Nourris au gluten, le rat perd ses facultés d’apprentissage, le chat adopte un comportement bizarre, les chatons, les chiots et les poussins ne pleurent pas lors du sevrage. Surtout ils perturbent la trophicité (ie ensemble des processus qui participe à la nutrition et à la croissance des organes ) et l’organisation cérébrale dans les premières années de vie et à la puberté, périodes de maturation, des migrations et positionnement des neurones et de la multiplication des cellules gliales dans les différentes couches tissulaires. Les peptides opioïdes dérivés du gluten ont un rôle étiopathogénique (mécanisme causal d’une maladie, sa recherche ) dans l’autisme.

L’association pathogénique gluten-autisme est née des travaux épidémiologiques de Dohan établissant une corrélation quantitative très forte entre l’incidence de la schizophrénie et la consommation de céréales. Le Pr. Reichelt élargissait cette recherche à l’autisme et établissait, imité par d’autres auteurs, la présence quasi constante et à des taux élevés, de peptides opioïdes dérivés du gluten dans les liquides biologiques d’enfants autistes. Pour affirmer la responsabilité d’une protéine alimentaire dans le développement d’une maladie, 3 conditions doivent être remplies : 1. La protéine alimentaire franchit intacte et active la muqueuse digestive ; 2. La protéine atteint l’organe malade, ici le cerveau, et y exerce ses effets délétères ; 3. L’éviction de la protéine incriminée amène la guérison ou l’amélioration des troubles. Construction pathogénique Le déficit initial est digestif et enzymatique à l’image des déficits en osidases (enzymes qui produise des osides qui agissent sur les oses, glucides monomères) qui digèrent les sucres alimentaires. La muqueuse duodénale est déficitaire en peptidase et notamment la dipeptidase de type IV et digère incomplètement le gluten en peptides opioïdes, qui en s’accumulant essaiment dans le sang et exercent leurs effets pathogènes par leur activité sur les récepteurs opioïdes et/ou par leur inhibition des peptidases tissulaires très répandues et dont le rôle dans l’organisme est encore mal connu. Il est important de différencier ce mécanisme de celui de la maladie coeliaque, la plus emblématique quoique la moins fréquente et souvent la seule connue des pathologies issues d’une « intolérance au gluten ». Dans la maladie coeliaque, le gluten avec la complicité de l’HLA-DQ2 génère un anticorps fatal à la transglutaminase, enzyme de réparation tissulaire de la muqueuse digestive qui existe dans d’autres tissus (cerveau notamment). C’est la perte de cette faculté de réparation qui entraînera l’atrophie villeuse et le syndrome digestif. Les « coeliaques » ont de plus, soit par déficit enzymatique soit par effraction muqueuse, une hyperpeptidémie – hyperpeptidurie opioïde responsable d’un tableau neuropsychiatrique (épilepsie, dépression), dans 2/3 des cas. La maladie coeliaque est une allergie au gluten, mais on sait que 30% des adultes sont intolérants au gluten. Le gluten et les atteintes neurologiques Sans graisse, riche en fibres, en magnésium et en vitamines B1 et B6, le pain pourrait être un parfait aliment santé, base idéale d’une alimentation saine et équilibrée. Mais… Nombreuses sont les personnes souffrant de diverses maladies et troubles dès lors qu’elles s’alimentent avec ce « mythique aliment » qu’est le pain. Maladie coeliaque, maladie de Crohn, cancer des intestins, ajoutés aux pathologies psychiatriques et divers troubles du comportement tels l’autisme, l’hyperactivité, les troubles scolaires ou encore la schizophrénie… Bref tant de pathologies, troubles mentaux plus divers les uns que les autres dont le principal responsable incriminé est… le gluten du pain ! Et malheureusement, nos enfants sont en première ligne concernant les risques. Pourquoi assistons-nous, de nos jours, à une explosion fulgurante du nombre d’allergies, et principalement d’intolérances aux céréales ? En quoi le gluten de notre pain serait-il devenu nocif pour l’Homme moderne ? Quel rôle jouerait-il dans les troubles mentaux ?

Agriculture… évolution et mutation L’agriculture de l’Homme occidental a délaissé depuis longtemps l’exploitation naturelle des cultures au profit de « l’intensif ». Suivant les régions du monde et durant des milliers d’années, les céréales ont été la base de notre nourriture. Le blé, l’orge, l’avoine, le seigle, le riz… autrefois sauvages, présentaient une très grande variabilité génétique mais ceux-ci furent très vite réduits par l’autopollinisation dans les champs puis par la sélection des espèces par l’Homme. En effet, dès l’époque romaine, les espèces cultivées présentaient de meilleures capacités à s’agglutiner pour la confection de la pâte à pain, qualité liée à la présence de gluten et furent donc privilégiées. C’est ainsi que les céréales mutantes caractérisées par un rachis solide (le rachis désigne la fixation de la graine à l’épi) tendent à se multiplier dans les zones cultivées, au détriment des céréales ordinaires : le gluten a fait son apparition dans notre « pain quotidien » !

Bien que l’agriculture permit la sédentarisation de l’humanité, il y eut cependant un prix à payer : la genèse de nouvelles maladies liées au caractère toxique de l’intolérance au gluten, plus communément appelée la maladie coeliaque. Pourquoi y a-t-il de plus en plus de personnes allergiques et intolérantes aux céréales ? Pour comprendre la nocivité du gluten, son implication dans les troubles mentaux, il nous faut explorer les unités catalytiques de nos voies métaboliques essentielles : les systèmes enzymatiques. Je vous amène, donc, avec votre permission, au coeur du carrefour des disciplines biologiques et physicochimiques. Rassurez-vous, je vous épargnerai les mécanismes scientifiques trop complexes. Etes-vous prêt ? Allons-y ! Généralisons :

L’intolérance au gluten se résume à un dérèglement de notre système enzymatique. Les protéines des céréales ne sont, en effet, pas complètement digérées, il en va de notre santé. Même le plus succulent des pains naturels à base de farine de blé bio, pétri avec amour et garanti sans produits chimiques et sans conservateurs, constituerait un redoutable poison pour l’organisme intolérant ! Quels sont les principaux suspects pointés du doigt par bon nombre de chercheurs internationaux (Cf. les études du professeur américain Boyd E. Haley) ? Appelons à la barre les métaux toxiques et les virus… Les métaux lourds incriminés Parmi les hypothèses étiopathogéniques les plus fréquemment accréditées dans la littérature internationale scientifique, nous retrouvons les métaux toxiques tels le plomb, le cadmium, l’aluminium et, enfin, l’ennemi numéro un le plus redoutable, le mercure ! Ces métaux, nous les côtoyons au quotidien : amalgames dentaires (mercure, étain, argent), cigarettes (cadmium, mercure), vaccins en général (aluminium jouant le rôle de conservateur) et plus particulièrement le vaccin contre le ROR rubéole-oreillons-rougeole (mercure sous forme de thimérosal), ou encore pesticides en tout genre, additifs et conservateurs alimentaires, etc. (Cf. les études du Pr Boyd E. Haley, biochimiste et toxicologue américain, des épidémiologistes Jean-Jacques Melet et Marie Grosman et des Pr Maurice Rabache et André Picot du CNRS en France). Et gare aux effets indésirables ! En s’accumulant dans l’organisme, les métaux lourds ont une action inhibitrice sur une classe d’enzymes que l’on nomme les peptidases. Ces dernières sont notamment destinées à la dégradation complète d’un ensemble de protéines alimentaires provenant du gluten. Par exemple, le mercure inhibe la DPPIV, une enzyme censée détruire le glutamorphine au cours de la digestion. Quand l’intestin déraille…

C’est un véritable empoisonnement chronique qui atteint la personne. Les protéines issues du pain, non complètement dégradées, franchissent en premier lieu la paroi intestinale, déjà altérée par le mercure et les virus, et se retrouvent ainsi dans le torrent du système sanguin. Ces peptides, alors transformés en « peptides opiacés », vont se comporter dans l’organisme exactement comme certains dérivés morphiniques et se fixer sur les récepteurs biochimiques spécifiques à ces substances. En occupant et en saturant les récepteurs, les peptides provenant du gluten, mal métabolisés, vont alors entraîner des dérèglements du comportement et favoriser le développement de maladies dégénératives du système nerveux central. En effet, l’accumulation de ces opioïdes inhibe le développement de ce dernier, provoquant ainsi un dysfonctionnement progressif. Saviez-vous qu’une molécule de gluten contient jusqu’à 16 molécules de dérivés morphiniques ? Par ailleurs, si, et seulement si, ces sujets présentent des dérèglements du mécanisme enzymatique propre à la glia (ensemble des cellules nerveuses du cerveau), en quelque sorte une altération de la barrière hémato-encéphalique, alors ces glutamorphines peuvent, en second lieu, traverser cette membrane, entraînant une accumulation neuronale et par conséquent favoriser le développement de troubles mentaux et comportementaux. Virus des vaccins et microbactéries Les virus des vaccins peuvent circuler dans le sang, se loger dans différentes zones cérébrales, causant ainsi, en association à l’action des glutamorphines, de légères encéphalites, des arrêts du langage, etc. Pire encore, les micro-organismes (champignons comme le Candida albicans) peuvent s’installer rapidement dans toutes les muqueuses et en particulier dans l’intestin. Véritables envahisseurs, ils contribuent à la formation d’une paroi empêchant l’absorption normale des aliments, des vitamines et… malheureusement du pain ! Les symptômes majeurs Le désordre biochimique auquel se retrouve confronté notre organisme lors d’une intoxication au gluten est à l’origine d’un éventail de désordres comportementaux souvent qualifiés, de façon erronée, de « psychosomatiques » ou « gastriques ». Quelques exemples : problèmes scolaires, dyspraxie, dyslexie, déficit d’attention et de comportement, hypo et hyperactivité, problèmes relationnels, violences, divers types autistiques (avec ou sans langage), troubles involontaires convulsifs (tic), troubles obsessionnels compulsifs (toc), automutilations, perturbation du sommeil, fatigue chronique, maladies de l’intestin (ballonnements, constipation, maladie coeliaque, maladie de Crohn, carcinomes de l’intestin…) schizophrénie, etc. La preuve biochimique Ces troubles « mentaux envahissants » causés par la dégradation partielle du gluten ont été mis en lumière par le professeur norvégien Karl Reichelt de l’Institut pédiatrique d’Oslo. En effet, il a incriminé dès 1986 la présence de peptides du gluten dans les urines de sujets hyperactifs, autistes, épileptiques et schizophrènes. Une solution, une analyse : la peptidurie Tous ces troubles obscurs peuvent être prévenus, notamment grâce à une simple analyse d’urine : la peptidurie. Celle-ci va mettre en évidence des toxiques, et en quelle quantité, qui perturbent l’activité électrique du cerveau. Grâce aux brillantes découvertes du professeur Karl Reichelt et à ses analyses de peptides urinaires, les patients peuvent, comme je l’ai fait pour mon fils, mettre en place un changement alimentaire individualisé exempté de gluten permettant ainsi de mettre fin à une longue litanie de symptômes et de se construire une nouvelle vie en pleine santé. Gluten - WIKIPEDIA Le gluten est un mélange de protéines qui, combiné avec l'amidon, forme l'albumen de la plupart des céréales. Il constitue environ 80 % des protéines contenues dans le blé et se compose en majorité de gliadine et de gluténine. Les gliadines et gluténines sont les protéines de réserve du grain, les autres protéines du grain sont des protéines de structure (albumines et globulines). Le gluten est responsable de l'élasticité de la pâte malaxée ainsi que de la masticabilité des produits à base de céréales cuits au four. Cette visco-élasticité permet de faire du pain de qualité : les bulles de CO2 dégagées lors de la dégradation anaérobie de l'amidon par les levures sont figées dans le réseau de gluten à la fois tenace et élastique (la pâte « lève »). On le retrouve donc dans les farines de céréales panifiables comme le blé, le seigle, et en quantité moindre dans des céréales difficilement panifiables, comme l'orge.

Le maïs, le riz complet et le millet sont des céréales sans gluten. Le sarrasin, une polygonacée, ainsi que le quinoa et l'amarante, des chénopodiacées, ne contiennent pas non plus de gluten. Le gluten a une forte teneur en glutamine et en proline et une faible teneur en lysine, en histidine et en arginine (des acides aminés basiques). Sommaire 1 Extraction 2 Intolérance au gluten Extraction Le gluten peut être extrait de la farine de blé ou de certaines autres céréales par lavage. On procède en rinçant à l'eau une pâte simple obtenue à partir de farine et d'eau, et malaxée jusqu'à ce que l'eau de rinçage soit claire et exempte d'amidon et de son. Le composé obtenu est ensuite séché par atomisation. Dans l'industrie, le gluten de blé est obtenu par séparation centrifuge : une pâte est préparée à partir de farine de blé et d'eau, cette pâte passe ensuite par une centrifugeuse à vis et bol qui sépare l'amidon, le gluten et les sucres solubles du blé. Le gluten est ensuite lavé, essoré, séché et pulvérisé afin d'obtenir une poudre de gluten que l'on retrouve souvent dans les boulangeries industrielles en complémentation des farines faibles. Intolérance au gluten Certaines personnes présentent une intolérance au gluten appelée maladie cœliaque. Il n'est pas certain qu'il s'agisse d'une véritable allergie ou d'une simple intolérance alimentaire, mais on suppose qu'il s'agit d’une perturbation d'ordre immunologique de la muqueuse intestinale vis-à-vis de la gliadine. La maladie cœliaque est, avec la mucoviscidose, la cause la plus fréquente de malabsorption chez l'enfant. Une des pistes de traitement la plus avancée est basée sur l'ingestion d'enzymes de dégradation du gluten, permettant de le dégrader en fragments non immunogènes1. Les symptômes peuvent apparaître très tôt (quelques semaines après l'introduction de farines dans l'alimentation des nourrissons), et sont très variés : diarrhée chronique, hypotrophie, perte de poids, vomissement, etc. On commence à soupçonner aussi un lien entre le gluten et certaines formes de fibromyalgie. Il existe aussi une sensibilité au gluten, différente de la maladie cœliaque2, qui toucherait 6% de la population américaine3. peptide opioïde ( pour info) un peptide opioïde désigne un opiacé (une molécule compatible avec les récepteurs aux opiacés), constitué d'une chaine d'acides aminés. Ce terme peptide distingue donc parmi les opioïdes ceux qui sont le résultat direct ou indirect d'une synthèse biologique issue de la retranscription de gènes. Leurs rôle biologique naturel est difficile à isoler car le mécanisme est ancien à l'échelle de l'évolution (apparition estimé a 600 million d'années). Toutefois, chez les mammifères, il semble que les peptides opioïdes soient fortement impliquées dans les mécanismes de la réponse immunitaire1. Ces peptides peuvent être distingués selon leurs origines : soit endogènes s'ils sont sécrété par l'individu qui les reçoit lui même (comme l'endorphine pour l'humain), soit exogènes s'ils ne le sont pas (La dénomination d'exorphine dans ce cas est proposé en 1979 et est plutôt tombé en désuétude). L'appellation a été largement diffusé dans le contexte des recherches empiriques faites dans le cadre du régime sans caséine ni gluten, qui vise à éviter les aliments qui peuvent se dégrader en peptides opioïdes qui sont donc exogènes dans ce cas.

 

Emission télé allemande SWR 15 août 2012, 20 H 15, "Billige Brötchen, Die Spur der Teiglinge" A revoir http://www.swr.de/  et puis "Sendung verpasst" Ce texte m’a été transmis par Richard HAAS Sommes-nous véritablement intolérant au gluten ?? Es-ce le gluten ou les nombreuses enzymes et autres additifs contenus dans le pain d'aujourd'hui qui nous rendent intolérants et/ou allergiques aux pains ?? Je me pose la question, ainsi que les scientifiques intervenants dans l'émission. Nos farines de céréales pour pains comportent jusqu'à 20 enzymes différentes hautement actives et autant d'additifs différents que l'industrie meunière n'a pas besoin d'indiquer sur les étiquettes de la formulation de la farine parce que leur poids n'excède pas un certain seuil.  Le boulanger ne connait pas la formulation exacte de la farine qu'il utilise et le consommateur le pain qu'il mange !!  Pourquoi ces additifs ?? pour que les pains soient adaptés aux nouvelles machines de l'industrie boulangère qui doit produite plus et plus vite pour faire un max de bénéfice. Est pris en compte, la hauteur du pain, la couleur, le goût (il faut qu'il soit attractif pour vendre!!) le croustillant, l'élasticité, la taille et nombre de bulles d'air dans le pain, temps de levée, de cuisson réduit, T° de fermentation et cuisson, etc.. etc… Des machines spéciales testent l'élasticité de la pâte jusqu'à la rupture, d'autres gonflent la pâte jusqu'à rupture de la bulle, etc.. Les labos des meuniers comportent tous d'immenses armoires bourrées d'additifs et d'enzymes. Avec les nouvelles recherches en cours ils veulent complètement maitriser toute la chaine du grain au pain fini.   Les meuniers prétendent que les enzymes et autres additifs disparaissent lors de la cuisson. Les experts émettent des doutes à ce sujet car aucun organisme indépendant ne l'a jamais confirmé. 

Le pain Bio est assurément BIO. Mais la farine BIO comporte-t-elle en plus des additifs et autres enzymes ?? Seul Dieu le sait puisque le meunier se cache derrière le secret de fabrication et qu'il n'a pas besoin de le révéler officiellement ni au boulanger ni au consommateur !!! Tout le monde ne peut se permettre de consommer QUE du BIO alors on nous fait avaler TOUT et après on se demande pourquoi nos intestins qui sont à la base de notre santé sont malades !! 

De nombreuses petites boulangeries allemandes ferment car ils ne peuvent plus suivre le rythme de l'industrie du pain et que leurs produits deviennent trop cher. En plus ils n'ont pas le choix et utilisent aussi les farines comportant des additifs sans le savoir ….... !!!   On peut soupçonner que tout qui passe dans les mains des industries de l'agro-alimentaire est du même tabac. Officiellement cette dernière n'a pas besoin de nous fournir les formulations exactes de leurs produits du moment que les doses "hautement actives" sont minimes et ne dépassent pas un certain seuil.

Des recherches actuelles vont dans le sens "d'utilisation d'additifs hautement actifs à doses minimes" ce qui permet aux fabricants d'indiquer sur les étiquettes "sans additifs" ….. !!! et personne ne se doutera de la supercherie.    Tôt ou tard ils arriveront à nous faire crever tous. L A M E N T A B L E !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!



21/08/2012
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